Nous sommes tristes et inquiets, mais nous sommes constructifs sans être naïfs.
Au départ, il y a les malentendus : d’abord, l’idée que l’anti-sarkozysme pouvait tenir lieu de programme ; ensuite, l’idée que la crise de 2008, jugulée par Nicolas Sarkozy et François Fillon, ne serait pas durable.