Monsieur le président Chassaigne, la réforme ferroviaire est nécessaire. Elle est indispensable et ne peut pas attendre. L’irresponsabilité – vous ne l’avez pas demandé – serait de différer ce texte. Le débat commencera donc aujourd’hui à l’Assemblée : c’est la responsabilité du Gouvernement et de la majorité que de mener cette réforme.