Le troisième axe de la réforme consiste à conclure un pacte national pour sauver, en garantissant sa pérennité financière, ce qui constitue pour nous un modèle de service public ferroviaire national.
Aujourd’hui, chaque année et de manière automatique, 1,5 milliard d’euros de dettes nouvelles sont générés et même, en réalité, pas loin de 3 milliards, si l’on inclut la construction actuelle de quatre lignes à grande vitesse financées, non par l’État, mais par RFF, en recourant à l’emprunt, ce qui revient à faire construire ces lignes en gageant l’avenir du ferroviaire.