Tel est précisément le rôle de la France, depuis deux ans. Il s’agit d’être présent sur la scène européenne, de créer les conditions d’une alliance avec des partenaires, et de ne pas nous satisfaire de dogmes qui auraient été établis par le commissaire Kallas, qui, malgré tout le respect que je lui dois et les bonnes relations que j’entretiens avec lui, ne peut pas imposer un système d’organisation unique à l’ensemble des vingt-huit États membres.
Notre histoire, notre patrimoine, le respect des racines de l’organisation ferroviaire requièrent pour le moins une forme de subsidiarité dans la gouvernance du ferroviaire.