Que répondez-vous à ceux qui considèrent que dans cette période de contrainte budgétaire, les moyens alloués à la recherche spatiale ne sont pas prioritaires ?
Peut-on imaginer une politique spatiale internationale qui permette de valoriser les compétences respectives et ne nourrisse pas une compétition inutile ?
Quels sont les formes et le degré de coopération entre l'ESA et les états-majors européens en matière d'observation satellitaire ?