Tout en reconnaissant à la présidente sa parfaite connaissance du dossier , je regrette toutefois une position que l'on pourrait qualifiée de dogmatique sur ce sujet. Ces conclusions ne prennent pas en compte la nécessité de poursuivre la recherche en matière d'OGM et on peut craindre que ce soit finalement la France qui soit perdante. J'espère que le Parlement et le Conseil européen trouveront une solution acceptable. Notre groupe s'abstiendra.