Votre volonté n'est pas en cause, monsieur le ministre. Force est simplement de constater qu'elle n'est pas partagée au plus haut niveau de l'État. Mais, s'il est louable de ne pas vouloir léguer des dettes qui seront un fardeau insupportable pour nos enfants, nous devons aussi leur assurer un monde sécurisé où ils puissent s'épanouir en toute liberté, un monde où la voix de la France puisse continuer à porter comme par le passé. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)