Je ne vous fais pas de procès d’intention, monsieur le secrétaire d’État, mais répondez alors à nos questions et tout se passera agréablement ! Celle que je pose concerne notre pays, mais plus particulièrement les travailleurs des usines où se construisent les trains.
Votre texte soulève une interrogation supplémentaire. S’il y a des demandes en matière de lignes, il faut que ceux qui les font payent, dites-vous. Soit. Nous voyons bien que vous pointez du doigt les collectivités. Mais en leur ôtant 10 milliards d’euros de dotations et en réduisant leur capacité d’investissement, elles n’auront pas les moyens de répondre demain à l’équation que vous posez aujourd’hui ! Vous signez aujourd’hui la fin de la grande vitesse ! Ce n’est pas un procès d’intention, c’est la réalité !
Où allons-nous, monsieur le secrétaire d’État ?