Vous avec beau essayer de mettre ne serait-ce qu’une feuille de papier à cigarette entre les positions du ministre français et celles de Siim Kallas, je vous redis qu’il n’y a pas de divergences. Je vous invite à lire sa lettre qui prend « bonne note des différentes précautions mentionnées pour garantir l’indépendance effective du gestionnaire d’infrastructures » et avance que « certaines de ces garanties sont en effet déjà prévues par le projet de loi ». Monsieur Jacob, M. Saddier n’aurait pas commis la même erreur !