Un amendement adopté au Sénat a prévu que le Conseil supérieur de la forêt et du bois soit informé des projets d'exploitation revêtant une grande importance, dans une rédaction peu satisfaisante. Je propose une rédaction plus simple, aux termes de laquelle le Conseil est informé des projets et donne un avis s'il l'estime nécessaire. Au demeurant, les cas sont relativement exceptionnels.