Avis défavorable. Certes, le cycle forestier est très long, beaucoup plus que le cycle politique des instances chargées d'élaborer ces programmes (Sourires), qui est de l'ordre de cinq ans. Toutefois, un délai trop long risquerait de faire perdre de vue aux régions et aux autorités nationales la nécessité de maintenir un programme adapté aux réalités du temps. La durée de dix ans permet de dépasser cet écueil possible, tout en étant compatible avec l'évolution forestière.