Je comprends l'esprit de l'amendement et je remercie le rapporteur dont la proposition va dans le sens souhaité. Mais, je le redis, le problème est plus large. Pour permettre la réinstallation de jeunes agriculteurs dans les zones concernées, notamment dans les zones montagneuses, il faut permettre à la Safer de préempter les parcelles abandonnées qui n'ont pas d'intérêt forestier. Si cela n'est pas fait, nos intentions, qui sont les mêmes, resteront lettre morte.