L'amendement précédent posait en effet un problème de constitutionnalité ; je l'ai constaté chaque fois que j'ai formulé des propositions en ce sens. Mais, s'agissant du présent amendement, nous devrions tenter notre chance : il existe une marge d'appréciation, et il appartiendra au Conseil constitutionnel de trancher. Comme souvent en matière de parité, nous n'avancerons jamais si nous ne prenons pas de risque.