Ces démissions me chagrinent également, d'autant plus qu'elles sont intervenues avant qu'Alain Juppé et Michel Rocard aient pu analyser complètement les limites de la réforme opérée. Si j'avais pu leur expliquer les choses, leur décision aurait sans doute été différente. Je crains cependant qu'il soit difficile pour un responsable politique de revenir sur une position publique.