En deux ans et demi de pouvoir, vous aurez en tout et pour tout porté le déficit de 4,9 à 4 % du PIB, et la dette continue inéluctablement d’augmenter. Heureusement que l’Union européenne impose aux États membres d’introduire prochainement dans le calcul du PIB l’économie clandestine, drogue, prostitution, pour le gonfler artificiellement et atteindre plus aisément l’objectif des 3 % de déficit !
Combien de chômeurs, d’entreprises françaises devront tomber avant que vous changiez de cap ? Des économies, certes, mais pourquoi refuser dogmatiquement d’autres pistes : la remise en cause de la monnaie unique ; la lutte contre la financiarisation de l’économie – pour mémoire, le remboursement des intérêts de la dette est le premier poste de dépense de l’État –,…