Parce que nous souhaitons voir se réaliser ce que François Mitterrand avait appelé de ses voeux devant la Knesset – deux États pour deux peuples vivant côte à côte –, nous sommes nombreux ici qui ne cautionnons pas votre discours, monsieur l'ambassadeur. Mais, pour reprendre les mots célèbres de Voltaire, bien que ne partageant pas vos idées, nous nous battrons pour que vous puissiez les exprimer.