Monsieur le ministre, je sais que j'ai été long en évoquant une situation qui est d'abord francilienne, mais je pense aussi que cette situation a été négligée depuis trop longtemps. Je voulais le souligner dans cet hémicycle, même si je conçois très bien que l'on puisse dire que l'Île-de-France n'est pas la France. Mais il faut aussi concevoir que les Franciliens ont des préoccupations et des soucis particuliers. Trois millions d'hommes et femmes empruntent quotidiennement ces transports : ils ont aussi besoin de la considération de la représentation nationale dans son ensemble,…