Ce n'est pas le rôle des intermédiaires de vérifier les cartes professionnelles des chauffeurs : leur mission se borne à une mise en relation. De plus, aucune mesure équivalente n'est prévue pour les taxis. Cet alinéa crée pour les entreprises une complexité inutile puisque l'inscription sur le registre prévoit déjà pareil contrôle des cartes professionnelles, et que les intermédiaires doivent déjà demander le certificat de cette inscription. Si les exploitants disposent du certificat, c'est que leurs chauffeurs ont une carte professionnelle. Cet amendement propose de supprimer ce doublon.