Mon propos concernait non pas les ressources génétiques in situ, c'est-à-dire celles qui sont encore présentes dans le milieu naturel et dont nous ne connaissons pas encore l'intérêt en termes de valorisation économique, mais celles qui existent déjà dans les collections et qui sont connues d'un point de vue scientifique et entretenues. Ces ressources doivent être utilisées au bénéfice tant des entreprises que des habitants. Cependant, compte tenu des arguments de la rapporteure et de l'attention particulière qu'il convient d'accorder aux territoires ultramarins, je retire mon amendement.