Intervention de François Brottes

Réunion du 24 juin 2014 à 21h00
Commission des affaires économiques

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançois Brottes, président :

Le problème, c'est qu'en l'absence de toute jurisprudence, il paraît délicat de distinguer ce qui serait abusif de ce qui ne le serait pas. Toutefois, vous avez raison, monsieur le ministre : si l'on supprime l'adverbe « abusivement », on enlève aux entreprises toute possibilité de générer du profit – or elles n'ont pas vocation à être philanthropes… Peut-être serait-il bon que le Gouvernement précise le sens qu'il donne au terme ?

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