Au-delà de la bonne foi du ministre, cette question pose tout de même problème. Ne pas sanctuariser un budget, c'est sortir de cet hémicycle sans aucun message clair.
S'agissant des routes nationales, nous connaissons l'état des finances : avant que des tronçons soient rénovés, remis au gabarit et que des pistes cyclables soient réalisées, nous avons un peu de temps devant nous.
L'appel à projets, monsieur le ministre, portera essentiellement sur les zones urbaines. Cela signifie que l'on exclut tout le périurbain et tous les territoires ruraux.