L'énumération des missions de l'agence en matière de développement des connaissances est ambiguë et de faible portée normative. Mon amendement propose d'abandonner la limitation des programmes concernés au domaine de l'eau – ne s'agit-il d'ailleurs que de l'eau douce, domaine de compétence de l'ONEMA, ou cela inclut-il également l'eau de mer ? On sait bien, en définitive, que l'agence sera arrêtée par un manque de moyens, mais inutile de borner les desseins de la Providence pour autant.