Cette précision s'impose en effet. Ne venons-nous pas d'apprendre, au détour de la discussion d'un amendement de précision, que les travaux de recherche sur le milieu marin actuellement menés dans le cadre de l'Agence des aires marines protégées seront interdits à la future Agence pour la biodiversité ? Outre que cette incroyable limitation de la recherche est une bourde supersonique compte tenu de la contribution du milieu marin à la biodiversité, on peut comprendre que le personnel soit tout sauf rassuré. Le texte ne gagnera certes pas en légèreté à l'adjonction de la liste des missions préservées, mais puisqu'on en limite ou en interdit certaines, il faut bien préciser ce que l'on reprend et ce que l'on ne reprend pas.