Si le texte a prévu un comité pour les milieux marins, c'est parce qu'ils représentent 97 % du territoire français. Il y a autant – sinon plus – de biodiversité dans l'eau que sur terre. Il ne faudrait donc pas que, par peur d'une formalisation excessive, on en vienne à supprimer ce « comité des différentes parties concernées par les milieux marins »…