Le thème doit donner le moral aux Français et aux autres peuples. Partager avec les provinces est important, mais cela risque de coûter cher aux participants, cela pourrait paraître discriminant pour certains pays, il faudrait réfléchir à des compensations.
La France doit faire face à des contraintes que la Chine n'a pas : elle n'a pas de terrains disponibles et l'Etat n'a pas d'argent. Il faut mobiliser les jeunes en recueillant leur opinion dès la préparation de la candidature, en leur demandant quel est leur vision du monde de 2025 et comment vivre mieux. De ce fait, ils se sentiront engagés. Un concours pourrait également être organisé entre les étudiants des pays francophones : quel sera le monde de 2025 ? Internet aura changé, la population aura augmenté, nous serons à la fin du premier quart du 21e siècle ; pourquoi ne pas travailler sur une date historique, y aurait-il un centenaire ou un bicentenaire à célébrer ? Les jeunes pourraient donner leur version du meilleur monde. Le bonheur nous touche tous, c'est une idée importante actuellement : l'ONU a institué une journée internationale du bonheur, l'OCDE travaille sur ce thème.