Vous étiez moins diserts pour critiquer les politiques que nos concitoyens ont subies au cours du quinquennat précédent consistant à rogner progressivement leurs droits d’assurance maladie ou de retraite. On vous entendait moins lorsque, au nom de la responsabilité, vous réduisiez les droits sociaux d’une partie importante des Français.
Mais aujourd’hui, madame la députée, je ne comprends pas très bien votre ligne. D’un côté, vous expliquez qu’il faut avancer de manière plus ferme sur la voie des économies et du rétablissement des comptes, mais de l’autre, on ne vous trouve jamais au rendez-vous pour accompagner les réformes de structure que nous proposons.