Nul besoin de rappeler le caractère particulièrement dégradé de la situation économique et financière et sociale dont la majorité a hérité en 2012 : une croissance à l’arrêt, un niveau de dette publique considérable et sans précédent, un taux de chômage en forte augmentation et des inégalités résultant d’une décennie de mesures fiscales favorables aux plus aisés.
Depuis l’été 2012, la majorité mène un effort inédit de réduction des dépenses publiques.