Vous avez relevé que « personne n'attend les militaires à la sortie », mais vous avez une mission de reconversion au sens large. Si les dispositifs de départ volontaires sont actuellement privilégiés, quelle forme pourrait prendre l'hypothèse que vous avez évoquée de mise en place éventuelle d'outils coercitifs ? Par ailleurs, qu'en est-il des obligations de formation du ministère dans le cadre des reconversions ? S'agissant des écoles, au vu de la réduction engagée de mille postes d'officiers par an, s'achemine-t-on vers la mise en place d'un numerus clausus ? Enfin le coût humain et matériel des externalisations est-il pris en compte dans ce calcul ?