La restauration et la conservation du patrimoine étant des secteurs d'excellence, je me réjouis que, dans ce domaine, les engagements relatifs aux crédits déconcentrés soient maintenus. Dans certains départements, le tourisme patrimonial est un moteur essentiel de l'économie locale. En Dordogne, il représente un quart de la richesse.
Par ailleurs, il est essentiel de soutenir les compétences et les savoir-faire artisanaux, à l'heure où État et collectivités diffèrent ou abandonnent certains projets de restauration ou de réhabilitation. Parfois, les DRAC tentent de faire baisser les tarifs très bas que pratiquent ces professionnels indispensables au maintien du patrimoine et soumis à la concurrence des auto-entrepreneurs. Comment protéger leur savoir-faire ? Plus largement, quelles recommandations adressez-vous aux DRAC pour l'engagement de leurs crédits budgétaires ?