Nous avons, en effet, mis en place un groupe de travail commun ARS-assurance maladie, afin de réfléchir aux modalités de restructuration de l'offre ambulatoire sur la région, en s'appuyant sur des informations de l'assurance maladie que nous n'avions pas toujours.
Il faudrait vérifier le taux d'utilisation des véhicules sanitaires. On pourrait notamment opposer à un gestionnaire de transport un taux d'utilisation insuffisant pour lui retirer l'agrément. Il est important de repositionner l'offre aux besoins.