Nous avons des relations étroites avec les préfectures mais sur le sujet des taxis, la situation reste perfectible. L'articulation avec l'État fait défaut sur ce sujet. Nous travaillons en collaboration avec l'assurance maladie sur la gestion du risque. Il faudrait néanmoins laisser plus de place aux spécificités régionales. Par ailleurs, il est dommage que nous ne puissions pas mettre en place les CAQOS avec les établissements privés. La réserve de la FHF peut d'ailleurs trouver une explication dans cette situation. En revanche, si l'agrément des entreprises de transport sanitaire peut être transféré vers un autre acteur, l'autorisation de mise en service doit être maintenue au sein des ARS.