Je salue la capacité de M. Mandil à reconnaître que les experts se sont trompés. Je relève aussi dans vos propos qu'il y a moins d'idéologie et plus de pragmatisme en matière de politique énergétique européenne, ce qui est heureux.
Des interrogations se posent aujourd'hui, s'agissant de la qualité du réseau de transport d'électricité (RTE) français et sur les investissements qu'il faudrait réaliser.
A propos du gaz de schiste, il se pourrait que l'on rate un train et nous affronterons alors de grandes difficultés à l'avenir.
Enfin, eu égard aux politiques énergétiques européenne et française, existe-t-il un risque de fragilisation de nos leaders nationaux, que ce soit dans le domaine du nucléaire, de l'électricité ou d'autres domaines ?