Nous nous félicitons de vous entendre dans cette enceinte parler d'un « droit à l'avortement », expression que les députés de l'opposition contestaient encore il y a quelques semaines, lorsque nous débattions d'un amendement au projet de loi pour l'égalité réelle entre les femmes et les hommes, supprimant la condition que les femmes se trouvent en « situation de détresse » pour pouvoir recourir à l'IVG.
D'autre part, si vous succédez à Dominique Baudis, vous serez membre de droit de la Commission nationale consultative des droits de l'homme : comment appréhendez-vous votre futur rôle au sein de cette institution ?