Cette initiative, cependant, n’obéit qu’à une démarche volontaire, fondée sur la seule confiance. L’amendement que je propose à l’article 1er, qui tend à inscrire comme objectif de la politique en faveur de l’agriculture, de l’alimentation et de la pêche maritime, la « garantie » et non « la promotion » de l’information des consommateurs quant aux lieux et modes de production et de transformation des produits agricoles et alimentaires, va dans ce sens. « Impossible » me direz-vous, au nom de l’eurocompatibilité.