…et très destructrice pour notre agriculture et pour notre planète. Le ministre a très bien expliqué – et je ne ferai pas aussi bien que lui –, que la compétitivité que nous condamnons, c’est la compétitivité à la David Ricardo ou à la Adam Smith, qui bousille tout sur son passage ! À l’heure actuelle, on ne peut pas avoir une politique agricole française qui ne tienne pas compte de ses dégâts potentiels sur la planète, sur l’environnement, et sur le devenir de notre agriculture. On ne peut pas concevoir l’agriculture sans tenir compte de la qualité de ce que l’on produit, de la nécessité d’avoir une montée en gamme et des produits de qualité.