Ces amendements identiques visent à substituer au mot « régénération » celui de « préservation ». J’appelle votre attention sur ce point : le mot « préservation » contient la possibilité de régénération, ce qui n’est pas vrai dans l’autre sens.
Par ces amendements, nous souhaitons que des dispositions soient prévues pour qu’en matière de biodiversité, d’équilibre de la faune en forêt, on cherche à garder ce qu’on a, au lieu de devoir restaurer ce qu’on a pu perdre. Bien souvent, les dispositions de ce texte tendent à favoriser le retour à un monde perdu, alors que nous cherchons, nous, à préserver ce qui existe.