Je pense donc que le curseur, monsieur le ministre, doit plutôt glisser dans l’autre sens, pour montrer que l’agriculteur, le chasseur, le berger, celui qui vit dans la nature, est aussi quelqu’un qui aime cette nature et qui est parfaitement capable de voir avec le préfet ce qu’il convient de faire.
Mais bloquer systématiquement le développement de nos forêts et de nos campagnes comme on l’a fait avec les directives sur l’habitat et d’autres encore, je ne pense pas que cela soit de bonne politique.
Je tenais simplement à le dire sans savoir exactement si j’ai outrepassé mon temps de parole dont, si vous m’y autorisez, j’userai à nouveau.