Je voudrais appeler l’attention de la représentation nationale sur le fait que, depuis quatorze ans bientôt, les plans de chasses ont évolué et que, dans certains massifs forestiers de ma circonscription, les cervidés vont disparaître d’autant qu’un autre ami à quatre pattes et aux oreilles pointues dont on parlera prochainement s’y promène.
C’est un fait : le nombre de chasseurs diminue, or la chasse n’est pas qu’un loisir, c’est aussi une passion, en particulier dans certains milieux populaires, qui ne prennent pas de vacances et qui économisent leur argent afin de chasser pendant les périodes de congé.