Le CSO s’est réuni l’année dernière quatre fois au ministère de l’agriculture à propos de la réforme de la politique agricole commune. Aujourd’hui, il est constitué, il fonctionne, il est représentatif des professionnels de l’agriculture et des organisations citoyennes mais, également, des différents acteurs de la filière agro-alimentaire.
L’inscription dans la loi de son assise législative lui donne une force et nous obligera à le consulter, ce qui n’a pas toujours été le cas.
Nous devons conforter un organisme qui nous permet de piloter les grands enjeux et les grands choix de la politique agricole. Le CSO doit être maintenu et je suis donc défavorable à votre amendement.