Quelle que soit la qualité du duc d’Aquitaine, cosignataire de l’un des amendements, je m’insurge contre une vision féodale et totalement bruxelloise de la construction de la France qui détruit la nation, les départements et les communes. On fait intervenir ici les régions sous prétexte qu’elles sont l’interface avec la PAC, mais je ne vois pas au nom de quoi on demanderait l’avis d’un président de conseil régional. Cela ne me semble pas démocratique. Je m’insurge contre cette politique délétère pour l’unité de la nation.