C’est un objectif majeur, essentiel.
Au sujet des cinq cents ou mille vaches, quel est le problème ? Il est question d’un investisseur qui investit dans le lait. Légalement, personne ne peut empêcher quelqu’un d’investir dans l’agriculture ; il y a d’ailleurs des gens qui apportent de l’argent pour aider les agriculteurs à s’installer ou à investir. Le problème, avec un investisseur capitaliste, c’est qu’un jour il peut investir et le lendemain retirer ses fonds. Surtout, avec les gros systèmes, la question qui se pose est celle de leur pérennité et de leur transmission.