L'idée de réinvestir l'existant est effectivement au coeur de notre stratégie, tout comme celle d'appeler les autres nations à ne pas présenter seulement de l'architecture, mais aussi de la technologie, de la rencontre, de l'émotion…
Pouvez-vous estimer rationnellement les besoins d'hôtellerie et de transport ? Quelle est votre estimation du nombre de visiteurs possibles ?
Notre projet, vous le savez, est multisite ; sur ce point, le Bureau international des expositions est ouvert, mais prudent. Nous mettons en avant l'exemple des Jeux olympiques et des châteaux de la Loire ; les nouvelles mobilités paraissent également rendre pertinente cette idée. Quel est votre regard de spécialistes ?
La formation à l'accueil est fondamentale. Les gens doivent se sentir des partenaires : c'est une révolution qu'il nous faut opérer. Quand faut-il, selon vous, enclencher le processus d'association de la population au projet ? Faut-il le faire dès le collège et dès maintenant ?