Sur l’amendement et le sous-amendement, le Gouvernement s’en remettra à la sagesse de l’Assemblée. En effet, la filière bois-forêt a besoin de se structurer. Je comprends qu’un des grands bassins forestiers français, spécialisé dans la production du pin maritime, souhaite se doter d’une organisation spécifique, mais cette volonté ne doit pas conduire – je le dis clairement – à remettre en cause l’organisation globale de l’interprofession quant aux grands choix stratégiques que doit faire la filière, notamment à l’égard de l’industrie de la transformation.