M. Chassaigne tient toujours des propos frappés au coin du bon sens, mais ce qu’il doit entendre dans les propos que nous tenons, c’est que la condition sous-jacente à cet amendement est que tout le monde cotise. Dès l’instant où on élargit l’assiette des cotisants, on peut renforcer la mutualisation de l’interprofession. S’il y avait un échec sur cet aspect-là, ce serait un coup pour rien, mais ce n’est pas du tout dans nos intentions.