Monsieur le ministre, je ne suis pas du tout rassuré par cet amendement gouvernemental, qui vient de débarquer. Avouons qu’il est assez sibyllin. J’aimerais quelque explication de texte plus précise, mais vous allez certainement en donner une.
Cet amendement me semble effectivement s’inscrire exactement dans la même perspective que ceux dont nous venons de débattre. Sont ainsi mentionnés « les deux tiers de ces opérateurs ou de leur chiffre d’affaires », « les volumes pris en compte ». Je ne parle pas l’araméen ancien, mais j’ai l’impression que vous avez des scribes qui ont beaucoup travaillé cette nuit.