Nous avons bien compris qu'il est trop tôt pour prétendre à une évaluation macroéconomique des effets du CICE. En revanche, vous avez évoqué la faiblesse de la compétitivité française, en raison du coût et de la qualité, c'est-à-dire de la faible valeur ajoutée, de nos produits. Avez-vous mesuré la répartition entre ces deux facteurs, coût et qualité, qui expliquent la situation actuelle ?