Comme 77 % des Bretons et 70 % des habitants de Loire-Atlantique – chiffres d'un sondage publiés le 6 juillet par un quotidien régional –, je suis un fervent partisan de la Bretagne historique composée de cinq départements. Cette revendication ancienne s'est incarnée dans les voeux de réunification émis à plusieurs reprises par le conseil régional de Bretagne et relayés par des centaines de communes bretonnes, intégrant ainsi la notion de proximité.
Monsieur le ministre, quelle conception avez-vous du droit d'option, inscrit dans l'article 3 du projet de loi adopté par le Sénat, inspiré par le bon sens et simple d'application ?