Au-delà de cette proposition de loi, dont l'objet ne fait pas véritablement débat, je voudrais rappeler que l'État dispose d'ores et déjà d'un nombre considérable d'agences, dont la « biodiversité » gagnerait à être réduite…
Je voudrais également attirer l'attention sur les Terres australes et antarctiques françaises, territoires mal connus, dirigés par un préfet et représentant des espaces maritimes considérables. Comment ces terres sont-elles intégrées dans le projet de loi relatif à la biodiversité ? La question des pollutions maritimes, par définition sans frontières, y est-elle suffisamment prise en compte ?