Les différentes interventions se rejoignent autour du souhait commun de voir la biodiversité mieux prise en compte dans nos politiques : en cela, nous avons d'ores et déjà gagné une partie de la bataille.
De même, la perspective de voir les commissions parlementaires compétentes invitées à se prononcer sur la personnalité pressentie pour diriger la future agence fait consensus.
Sans revenir sur les débats qui se sont tenus en juin dernier sur le projet de loi relatif à la biodiversité, je rappelle que le Comité national pour la biodiversité intégrera la totalité des parties prenantes – c'est d'ailleurs le cas aujourd'hui au sein du Comité national « Trames verte et bleue », qui fait un excellent travail et où la convergence des bonnes volontés permet souvent d'aboutir à un consensus.
S'agissant des Terres australes et antarctiques françaises, je confirme que plusieurs dispositions du projet de loi leur sont consacrées. Comment les problématiques spécifiques qui leur sont afférentes pourront-elles être prises en compte au sein du conseil d'administration de l'agence ? La question reste ouverte et il conviendra que nous restions vigilants sur le sujet.