C'est un problème difficile. Lorsque j'étais parlementaire, j'ai à plusieurs reprises demandé la diminution du taux de TVA sur les protections – le journal Libération m'avait surnommée « Mme Couches-culottes ». Je pense que si nous prenions en compte ce problème, nous changerions la vie de nombreuses femmes âgées.